TOUS SPORTS
Jeu 09 août " Ici Londres... XXXème Jeux Olympiques"
A force d'écouter la radio RMC avec son slogan "Ici Londres..." je me dis qu'il faut que je rejoigne les supporters français pour aller encourager nos athlètes aux Jeux Olympiques. Ne serait-ce qu'une journée. Je regarde le programme de la semaine et mon choix s'arrête sur la date du mercredi 8 août. C'est ce jour que doit se dérouler les 2 matches de l'équipe de france de handball et basket contre les espagnols. Pour connaître l'ambiance olympique, c'est le bon jour. Je sais, dès le départ (en consultant internet), que je n'aurai pas de place dans les stades mais mon idée est d'aller au Club France pour assister à tout cela sur écran géant avec les supporters français. (plus de 5000 passent chaque jour à ce Club).
http://franceolympique.com/art/1797-un_club_france_ouvert_aux_collectivites.html
Donc, mercredi, à 6h00, je prends le RER pour rejoindre la Gare du Nord car, à 7h17, je prends l'Eurostar pour rejoindre la capitale anglaise. J'arrive à 8h40 (9h40 heure française) à la gare de Londres St-Pancras.
Beaucoup de monde dans le "tube" (métro londonien) mais la signalétique est parfaite. Il me faut environ 30' pour me retrouver devant le Club France qui est situé à 400m environ du Tower Bridge, le long de la Tamise.
Pour espérer avoir des tickets pour assister à des épreuves de la journée, il faut faire une queue d'1h00 environ à une porte d'entrée spécialement dédiée à cela. Et encore, tu n'es pas sur d'en avoir... Je décide de prendre l'autre entrée qui, moyennant 5 livres, permet d'entrer au club France. A 9h40, je suis à l'intérieur. Là, le premier étage est réservé aux athlètes et aux familles, aux journalistes et aux personnes accréditées. Par contre, au rez de chaussée, tout est à disposition.
Il y a la boutique officielle J.O. 2012, le studio de la radio RMC, de l’Équipe plus différentes animations dont un jeu sur home-trainer avec une piste virtuelle d'un vélodrome qui défile devant vous. On trouve aussi, bien sur, un bar avec restauration rapide. A l'extérieur, le studio de France 2, et une terrasse qui donne sur la Tamise.
Après avoir fait le tour de tout ça, je m'installe sur un siège et commence à regarder le grand écran où est retransmis toutes les épreuves du jour. Je vais aussi discuter avec Daniel Costantini, ancien coach de l'équipe de France de handball, (médaille de bronze aux Jeux olympiques d'été de 1992 puis consécration mondiale aux Championnat du monde de handball masculin 1995 en Islande avec une équipe de fortes personnalités, surnommés les Barjots tels que Frédéric Volle, Philippe Gardent, Denis Lathoud, Stéphane Stoecklin et un génie Jackson Richardson, ainsi que lors des Championnats du monde 2001 en France avec des joueurs tels que Jackson Richardson, son capitaine, ou Grégory Anquetil) et maintenant consultant sur RMC.
Je discute aussi avec Gilbert Gribois, journaliste à RMC que je félicite pour son émission (l'after foot) qu'il anime de 20h à minuit sur RMC chaque soir, sauf le vendredi, et qui est aussi alsacien comme moi puisqu'il est né et a habité à Strasbourg.
Lors de cette journée, je vais aussi apercevoir Brahim Asloum, Céline Géraud et Serge Simon qui animent un talk show pendant 30 minutes sur les dernières news des J.O.
Enfin, Hamilton Sabot et Steeve Guénot, tous les 2 médaillés de bronze, viennent quelques instants pour faire une séance de dédicace bien sympathique. Après avoir suivi les qualifications des sauteurs à la perche (tout bon pour Lavillenie et Mesnil) le matin, tout le monde attend les 2 confrontations avec les espagnols prévus dans l'après midi.
Super ambiance avec la victoire des handballeurs français à la dernière seconde (23 - 22), un peu refroidie quelques heures plus tard avec la défaite des basketteurs devant leur bête noire espagnole.
En vidéo, les 25 dernières secondes du match. La france est à égalité 22 à 22. Temps mort demandé. Reprise du match et but de la France à la dernière seconde... Après, que du bonheur!!!
http://www.youtube.com/watch?v=nf9Xpcdaoj8
A 19h00, je quitte le Club et flâne quelques instants le long de la Tamise jusqu'au Tower Bridge. J'en profite car il fait beau et doux en cette soirée sur la capitale anglaise.
Ensuite, retour en Métro sur la gare pour prendre le TGV du retour à 20h55. Il est 00h17 quand j'arrive à Paris. 1 heure plus tard, je vais me coucher avec pleins de beaux et bons souvenirs dans la tête. Quand on a la chance de pouvoir le faire, il ne faut pas hésiter ; l'ambiance des J.O., c'est vraiment bien de la vivre sur place, autrement que sur son canapé devant la télé.
Vive les Jeux, vive la France...
Lu 16 avril Marathon de Paris 2012
Dimanche 15 avril 2012, 5h45 du matin, le réveil sonne. Debout, c'est l'heure! Douche, petit déjeuner sportif (Gatosport, Spordej), dernier regard sur le sac avec les affaires et, à 7h00 direction la station de RER. A 7h30, je suis sur la Place de l'Étoile et me dirige vers les consignes pour laisser mon sac de rechange. Il fait frais ce matin, un petit 8°C avec du vent du nord qui amplifie la sensation de froid.
A 8h20, la foule se presse aux portes des différents sas de départ. Ah oui, j'oubliais, je suis sur les Champs Elysées pour participer à la 36ème édition du marathon de Paris.
Après avoir été bénévole sur la ligne d'arrivée en 2010 et 2011, je m'étais dit que cela serait sympa de le courir en 2012 pour mes 50 ans. C'est mon accident de la route en Belgique qui m'a conforté dans cette idée. Pendant les longues heures d'immobilité dans mon lit, je me suis promis, si je m'en sortais sans séquelle, d'être sur la ligne de départ le 15 avril à 8h45 sur les Champs Elysées. Peu importe le temps que je réaliserai, l'important n'est pas là. L'important s'est de pouvoir courir avec les 39999 autresparticipants. Tout au long du parcours, je vais doubler des gens dans des chaises roulantes poussées par de valeureux coureurs... A chaque dépassement, je ne peux m'empêcher de penser que la vie tient, parfois, à peu de choses...
Le départ est donné à 8h45.
Cette année, cela se fait par vague. En premier, les Élites, ensuite les préférentiels, les 3h00, les 3h15, les 3h30, les 3h45 etc.
Moi, j'ai un dossard pour 3h30. Temps que, je le sais dès le départ, je ne tiendrai pas. Je ne me suis pas du tout entraîné pour ce marathon. C'est sûr que je cours lors des entraînements et courses d'orientation, mais cela n'a rien à voir avec un entraînement marathon. En 2000, à New York (3h13) et en 2004 à Berlin (3h09), ces 2 marathons avaient été sérieusement préparés et, déjà, cela n'avait pas été facile de terminer dans un bon temps pour moi. Alors aujourd'hui, je pars complètement dans l'inconnu. On avance tout doucement vers l'arche de départ, l'ambiance est géniale...
Grand moment que ce départ sur les Champs complètement fermés, bien sûr, à la circulation. Je passe la ligne de départ à 8h53 et tout de suite, les Champs se dévoilent devant moi.
On peut courir sans gêne et je prends le rythme du meneur d'allure que je vois, au loin devant moi, des 3h30. 1er km en 4'51. C'est bien, car pour 3h30, il faut faire un peu moins de 5' au km. L'ambiance chaleureuse me fait oublier la fraîcheur. Beaucoup de spectateurs sont au bord des avenues, ainsi que de nombreux orchestres qui donnent une superbe ambiance de kermesse. Je passe au 5ème km en 24'26, toujours dans les temps (24'50). On passe Place de la Bastille et direction le Bois de Vincennes. Là, le dénivelé est un peu plus présent mais je passe au 10ème km en 48'59 (49'40). Le meneur d'allure est parfaitement réglé. Néanmoins, à l'approche du quinzième
kilomètre, je commence à ressentir une gêne au quadriceps droit. Je passe au 15ème km en 1h13'29 mais je suis toujours dans les temps (1h14'30). On est en plein Bois de Vincennes et il y a forcément un peu moins de spectateurs. Les kilomètres s'enchaînent bien... Le semi marathon est atteint en 1h43'42 et je suis toujours dans le coup car je dois passer en 1h44'18. Je me rappelle qu'à New York et Berlin, j'étais passé en 1h29' environ et que j'avais perdu une dizaine de minutes sur le second semi. Donc, sans entraînement, je sais ce qui m'attend (le fameux mur) et cela va se vérifier dans quelques kilomètres. Sur les quais, j'entends quelqu'un m'encourager « allez Didier », je tourne la tête et je vois Perrine qui est là, parmi les nombreux spectateurs. Au 25ème kilomètre, sur les quais, à hauteur de Notre Dame, je suis encore dans les temps, 2h03'49'', (2h04'10) mais j'ai de plus en plus de mal aux quadriceps. De moins de 5' au kilomètre, je passe à 5'30 environ sur les kilomètres suivants.
Je suis en 2h31'46'' au 30ème kilomètre (2h29'00). Je ne vois même pas la Tour Eiffel, trop occupé à suivre la ligne bleue tracée au sol. C'est elle mon guide. Presque 2' de retard sur le tableau de marche des 3h30. Maintenant, c'est sûr, la performance kilométrique, qui au départ, n'était pas un réel objectif (mais comme tout compétiteur, on se prend au jeu) devient complètement secondaire. Il va falloir finir dans un état correct. J'ai de plus en plus de mal à avancer. Les gels ingurgités ne font plus d'effet. Je me trompe sûrement car, je n'ai pas pris un seul ravitaillement solide de tout le parcours. Je m'efforce de ne pas m'arrêter. C'est maintenant que le mental doit être fort. Je repense à l'accident, à mes nuits sans pouvoir dormir à cause de la douleur, aux conséquences dramatiques que cela aurait pu avoir... « Allez, prend un kilomètre l'un après l'autre et tu arriveras bien au bout... ». Km 35, je suis en 3h02'43'' au lieu de 2h53'50 soit un déboire de 6' sur les 5 derniers kilomètres... Terrible, je n'avance plus, je me fais doubler par tout le monde. Le vent frais de ce début avril, qui vient de face, n'arrange pas les choses. Les seuls que je dépasse sont ceux qui marchent ou ceux qui sont arrêtés sur le côtés, crampe oblige. 36ème kilomètre = 6'35, 37ème km = 6'41, 38ème km = 6'49, 39ème km = 6'33. Au secours !!! A ce moment, je sais ce que c'est que ce fameux « MUR » du marathon. En 2000 et 2004, à partir du trentième kilomètre, je n'avais perdu qu'une trentaine de seconde par kilomètre, donc pas vraiment de défaillance. Ici, c'est 1'30 de plus au km. De 5' au km, je passe à 6'30 pour les 12 derniers... La traversée du Bois de Boulogne est terrible. Je passe au 40ème kilomètre en 3h35'53. Plus que 2,195km à parcourir. Les plus longs assurément. « Vite, réfléchi tant que tu as encore un peu de lucidité pour calculer si tu peux arriver avant les 3h50 ». 14' pour 2195 mètres à 6'30, c'est possible. « You can do it » comme ils disent du côté de New York. 41ème km en 6'50. Aïe, c'est mal engagé. La faute au dernier ravitaillement où beaucoup de coureurs sont éparpillés sur la chaussée... 20'' de perdues à zigzaguer. Il faut absolument terminer plus vite ce dernier kilomètre. En ai-je encore la force? Le mental est là mais le corps ne répond plus beaucoup à cette sollicitation d'accélérer. Mais, c'est là, que l'on voit l'extraordinaire machine qu'est le corps humain. Avec de la volonté, avec les encouragements de la foule, ça repart. Le rond point de la Porte Dauphine annonce l'arrivée. Je passe le km 42 en 6'04 !!! La ligne d'arrivée se dévoile à moi.... Elle est là, avec son immense arche, 195m devant moi... Dernier effort, et c'est en 59'' que je cours les derniers mètres. Oui, je cours, car là, je retrouve un semblant de foulée de coureur à pied sur les derniers mètres du marathon que je termine en 3h49'52''.
Quelle joie !!! J'ai un peu d'émotion quand, dès la ligne d'arrivée franchie, j'entends mon épouse qui m'appelle. Super, elle a réussi à me voir parmi toute cette foule. Je la rejoins mais les barrières nous empêchent de nous enlacer... Elle est aussi contente que moi de me voir finir ce marathon 2012. On échange quelques mots puis je la laisse car il faut que j'aille récupérer mon tee shirt FINISHER, la médaille et que j'aille me changer car il ne fait pas chaud, une fois la course finie.
Pendant que je me change, je repense à ma course. "Tant mieux" me dis-je, "si j'en ai tellement bavé sur cette fin de course". Cela me prouve que sans entraînement, on ne peut rien obtenir de bon et heureusement d'ailleurs. Cela serait trop facile. Et dans la vie de tous les jours, c'est un peu la même chose. Toutes récompenses demandent des efforts.
Au passage, je salue le Général P. Durieux, L. Sxay, B. Vannier, C. Michaud. Plus loin, c'est Yoyo, Nelly, Martine, Thierry et son épouse, Pierrot et Yannick, tous licenciés au club de la Garde Républicaine... qui sont tous bénévoles sur ce marathon. Un grand merci à eux, car sans eux, sans les 2700 volontaires, il n'y aurait pas de course. Merci à vous tous.
Malgré un vent frais et parfois violent, les élites se sont illustrés en faisant tomber les deux records, masculin et féminin, de l’épreuve et les 40 000 participants de ce grand rendez-vous ont une nouvelle fois inondé les rues de Paris de leur enthousiasme.
Le jeune Kenyan Stanley Biwott, après avoir remporté le Semi-marathon de Paris 2012 (et battu le record de l’épreuve), a marqué cette 36ème édition en remportant la course dans le temps record de 2h05’12 (20,22 km/h de moyenne), laissant à plus d’une minute ses deux poursuivants, les éthiopiens Raji Assefa (2h06’24) et Sisay Jisa (2h06’27). (Ancien record hommes : Vincent Kipruto(Kenya) 2h05’47 en 2009.
Chez les femmes, Tirfe Beyene (Éthiopie) remporte la course et bat également le record de l’épreuve en 2h21’40, loin devant la Turque Sultan Haydar, deuxième en 2h25’09, et sa compatriote Makda Harun, troisième en 2h26’46. (Ancien record femmes : Astede Bayisa (Ethiopie) 2h22’02 en 2010. Benjamin Malaty, le tout récent champion de France de cross-country, est le premier français à l’arrivée. Il prend la 19ème place en 2h13’15 pour son premier marathon ! La première française, Corinne Herbreteau-Cante, termine à la 13ème place de la course féminine en 2h42’17.
Dans la catégorie Handisport (fauteuils), le Français Julien Casoli remporte la victoire en 1h35’56. Il devance, au terme d’un sprint acharné sur l’avenue Foch, le Suisse Heinz Frei (1h35’57), vainqueur des deux dernières éditions, et un autre français, Denis Lemeunier (1h35’57).
Pour l'anecdote, je termine 11953 sur 32980 au classement général et 1460ème en HV2 sur 4359. Le dernier coureur franchissant la ligne d'arrivée en 6h48'51''.
Ont aussi participé à ce marathon, des sous-officiers du 1er Régiment que j'ai rencontré avant le départ : Cedric LEBOEUF qui termine en 3h36, Xavier CHAUMARAT en 4h40 et Aïde CAIXEIRINHO en 4h51.
A noter, la présence d'Amélie Mauresmo qui a porté très haut les couleurs de l’institut Curie en réalisant, pour sa première participation, un temps impressionnant de 3h16’49 (45ème de sa catégorie !). De son côté, Laurent Jalabert, qui cumulait les challenges en courant les 42km195, commentant la course pour le compte de France Télévisions et transportant un dispositif expérimental analysant en temps réel les données de sa course (foulées, indices de fatigue...), termine en 3h08’25 au cœur du peloton.
Je me change et retrouve ma fille et mon épouse à la sortie des sas réservés aux coureurs.
On s'en va manger une pizza sur les Champs avant de regagner notre domicile.
Cela restera un ENORME souvenir et, ce défi relevé, clôture pour moi, un chapitre du livre de ma vie.
En souhaitant pouvoir en vivre encore pleins d'autres avec autant d'émotions.
Je 03 nov C'était il y a 11 ans...
SOUVENIRS, SOUVENIRS... Il y a 11 ans, le jeudi 2 novembre 2000, je m'envolais avec mon épouse pour New York afin de courir le 31ème marathon de New York.
Merveilleux souvenir qui restera à jamais gravé au fond de ma mémoire. Il fallait marquer l'An 2000 de manière exceptionnelle. Quoi de plus insolite que de traverser l'Atlantique pour vivre le bonheur d'être présent au départ de cette course monumentale.
Si New York reste la référence en matière de marathon, et que la démesure de l'événement est à la hauteur de la ville, l'ING New York City Marathon ne serait pas ce qu'il est sans la qualité de son organisation et l'ambiance qui règne tout au long du parcours. Tandis que les organisateurs
abattent une somme de travail faramineuse dans les mois qui précèdent l'événement, l'investissement, l'énergie et la passion que les milliers de bénévoles mettent à l'ouvrage donnent une dimension unique à cette course. Le jour J, les 12.000 volontaires jouent un rôle essentiel dans le bon déroulement du marathon, déroulant le tapis rouge à ces 40.000 héros d'un jour. Chaque premier dimanche de novembre, du côté de New York, la machine, bien huilée, est prête à se remettre en marche... Pour le bonheur de tous !
Cette année là, 3000 coureurs français avaient fait le déplacement, encouragés par plus de 2 millions de spectateurs massés tout au long du parcours.
21 ans après, j'ai encore des frissons en repensant à la descente de la rampe d’accès du Queensboro bridge où les spectateurs se massent en nombre incroyable chaque année...
En septembre 2001, 1 an après, il y a eu l'attentat du World Trade Center... Tours jumelles que l'on avait visité...
J'ai terminé ce marathon en 3h13'32 et 1364ème (614ème senior) sur 29972 arrivants. Quatre années plus tard, je participais au marathon de Berlin que je bouclais en 3h09'40 et 2009ème (480ème HV1) sur 28681 arrivants.
A NE PAS LOUPER : Le dimanche 6 novembre, à 15h20, il y aura la diffusion sur Eurospsort du marathon 2011 en direct. Alors à votre télécommande...
Quelques chiffres pour vous donner une idée de l'ampleur de l'événement.
150 membres du NYRR (New York Road Runner) travaillent toute l'année à l'organisation du Marathon
5.307.420 clics journaliers sur la page www.ingnycmarathon.org
608 accréditations délivrées aux médias
330 millions de téléspectateurs à travers le monde
100 stands présents au Jacob Javits Convention Center (Centre Expo)
210 oeuvres caritatives représentées
Au départ :
5 : heure à laquelle démarre le ballet des bus officiels chargés
d'acheminer les coureurs jusqu'au départ
30.144 barres énergétiques distribuées avant le coup d'envoi du marathon
93.600 bouteilles d'eau
20.000 boissons énergétiques
45.000 tasses de café
1.694 wcs portables
3 vagues de départs distinctes : 9h40, 10h10 et 10h40
7 tonnes de vêtements récoltées sur les premiers kilomètres du parcours et redistribuées à des associations
Pendant la course :
54 chronomètres et 106 pendules officielles (panneaux de kilomètres tous les 5km, panneaux de miles à chaque mile. Jusqu'au 8e mile, consultez les indications de l'horloge dont le code couleur correspond à votre zone de départ)
5 caméras digitales
800.000 photos de participants prises par 80 photographes officiels à 16 endroits différents
5 quartiers traversés : Staten Island, Brooklyn, le Queens, le Bronx et Manhattan
5 ponts traversés : Verrazano-Narrows Bridge, Pulaski Bridge, Queensboro Bridge, Willis Avenue Bridge et Madison Avenue Bridge
236.147 litres d'eau (soit plus d'1.6 million de verres)
121.310 litres de boissons énergétiques
2.300.000 gobelets en carton
368 wcs portables
130 groupes de musique ou autres animations entre la ligne de départ et la ligne d'arrivée
2.5 millions de spectateurs le long du parcours
Médical :
38 postes de secours
418 lits
30 défibrillateurs
5 tonnes de glace
14.000 pansements
20.450 abaisses- langue
220 tubes de vaseline
311 thermomètres
52.000 cachets d'anti-inflammatoires
A l'arrivée :
74 trucks transportent les sacs des coureurs de la ligne de départ à la ligne d'arrivée
54.000 médailles de « finisher » distribuées
54.000 « recovery bags » (sacs contenant boissons, barres énergétiques, fruits secs, bretzels,
ainsi qu'une pomme : quoi de plus logique dans la Big Apple !)
55 coureurs seulement passent la ligne d'arrivée en 1970, date du tout premier marathon de New York (ils étaient 43.250 lors de la dernière édition)
19 : heure de fin de la course
Côté business :
$ 1 : prix de l'inscription lors de la première édition (aujourd'hui : $280, soit environ 200?...)
$ 340.000.000 : retombées économique globales du marathon New York
$ 31 millions : fonds récoltés par les Charities
$ 130.000 : prize- money du vainqueur (montant équivalent pour les hommes et les femmes. A noter que la prime s'élève à $ 200.000 si le vainqueur du jour a déjà remporté la course précédemment)
$ 650.000 de primes au total
Divers :
2 : rang auquel se place la France dans l'ordre des nations (hors USA) les plus représentées (derrière l'Italie, et devant l'Allemagne)
13 : en degrés Celsius, la température moyenne lors de l'événement
33% des coureurs ont entre 40 et 49 ans (tranche d'âge la plus représentée)
87 ans : âge du coureur le plus âgé
62 % des participants sont de sexe masculin, 38% de sexe féminin
56% des coureurs engagés pour cette course sont mariés, 37 % sont célibataires
42.195 km : distance de l'ING New York City Marathon, of course !
A VOS RUNNING .....
Je 27 janvier Une adresse pleine nature à découvrir...
Vous aimez le Haut Douds, l'ultra trail, la rando nordique, le calme, les tisanes maison, la nature, alors allez visiter le blog de Patrick, athlète du TEAM ASICS TRAIL, et de Virginie qui vous accueillent à l'auberge Sur la Roche...
Ils nous ont accueilli lors des championnats du monde vétéran de CO qui se sont déroulés en Suisse en août 2010 et ce fut une SUPER semaine. Ah ce fromage et ces tisanes...
http://lepatricketlavirginiebohard.over-blog.com/
Lu 12 avril Retour sur le marathon de Paris
Ils étaient 31566 coureurs à prendre le départ (30815 classés) de la 34ème édition du marathon de Paris.
Parmi eux, un ami de longue date de ma région natale, avec lequel je partage des bons moments de sport (marathon de Berlin, ski de fond, cyclisme, trail). Philippe est arrivé en compagnie de son épouse samedi après midi à la gare de l'Est. Je les ai récupèrés en voiture, ensuite direction la Porte de Versailles pour retirer le précieux dossard. La soirée se passa devant la traditionnelle assiette de pâtes. A 22h30 tout le monde était couché.
Dimanche matin direction les Champs Elysées. A 8h00, on est sur place.
Avec son dossard "préférentiel", Philippe a le temps de se préparer et de s'échauffer tranquillement.
A 8h45, c'est le départ. Le flot des coureurs se déverse sur les Champs.......
Moi, je prends la direction de l'Avenue Foch où se juge l'arrivée.
Je quitte son épouse qui, elle, va l'attendre près de la ligne d'arrivée car moi je fais partie des 2700 bénévoles qui œuvrent tout au long du parcours. Je me rends au briefing sur la zone d'arrivée dirigé par Pascal Lejeune.
J'apprends que ma "mission" consiste à éviter les "bouchons" à l'arrivée des coureurs. Une fois la ligne d'arrivée franchie, ceux ci doivent continuer à avancer pour aller récupérer leur tee shirt "FINISHER" et leur médaille. Surtout pas de bouchon !!!! Tel est la consigne principale.
A 9h20, on se met tranquillement en place, on sort les 32 000 tee-shirts de leur emballage, et on attend les premiers coureurs.
Avant que les meilleurs arrivent, il y a les handicapés qui en terminent sur leur "machine" de course. Impressionnant et quelles belles leçons de courage.....
Ensuite quelques "peoples" passent devant nous après avoir "ouvert" le marathon (6km) avec des associations comme l'équipe du Cœur Mécénat Chirurgie cardiaque.....
2 ex-Miss France Valérie Bégue (à gauche MISS 2008) et Sylvie Tellier (à droite MISS 2002)
Le premier arrive, il s'agit de l'Ethiopien Tadesse Tola qui remporte l'épreuve en franchissant la ligne d'arrivée en 2 heures, 6 minutes et 41 secondes.
Chez les femmes, la course est gagnée par l'Ethiopienne Atsede Baysa en 2 heures, 22 minutes et 4 secondes. Elle bat le record de l'épreuve.
A noter la performance de Christelle Daunay, 2ème de l'épreuve en 2h24'22", qui bat le record de France. Elle a couru en compagnie de son compagnon, Frédéric Bouvier, membre de l'équipe de cross de la Garde Républicaine qui termine dans le même temps et qui se classe 30ème et 3ème français. Énorme !!!
A partir de cet instant je guette mon ami. Celui ci arrive en 2h47'18" et se classe 318ème. Belles émotions quand on se retrouve...... Félicitations Philippe.
Ensuite, un flot incessant de marathoniens va passer devant mes yeux.... 6 heures à aiguiller les gens.... "Avancer, avancer, les hommes couleur bleu au fond, les femmes couleur rose au début"... "Come on, come on, Blue for the mens, pink for the womens".... Tout se passe bien... Les gens sont heureux d'en avoir terminé et certains nous remercient pour notre présence, pour l'organisation impeccable.... Cela fait chaud au cœur bien que moi, je n'y suis pas pour grand chose.....
Beaucoup de nationalitées sont représentées. Ce sont les coureurs du Royaume-Unis qui sont les plus nombreux au départ de l'épreuve. 5062 britanniques. Derrière eux, ce sont les américains qui sont venus en force avec 1087 coureurs. Ensuite, on trouve les italiens (1066), allemands (967), belges (620), espagnols (518), irlandais (434), brésiliens (429) et suisses (398). Des danois, suédois, polonais, tchèques arboraient aussi leurs nationalités sur leurs maillots.
Autres records en tout genre : 17 tonnes d'orange distribuées sur le parcours, 30 tonnes à l'arrivée; 440000 bouteilles d'eau; 2 tonnes de fruits secs; 2 tonnes de sucres en morceaux. C'est aussi 220 000 spectateurs (estimés) sur le bord du parcours pour encourager les runners.
Au final, une superbe journée avec une super ambiance, qui m'a fait connaitre l'envers du décor et le travail, ô combien, important de tous les bénévoles, quelque soient leurs responsabilités. Merci à tous.
Di 28 février Mon blog a 1 an d'existence
Il y a un peu plus d'un an, le 26 février 2009, je créais ce blog.
365 jours plus tard, 50 articles et 93 photos ont été publiés.
Vous avez été 3739 à visiter mon blog et je vous en remercie.
Le TOP 3 des articles les plus visité est :
Ve 29 mai Résultat CFM de CO Clermont Ferrand | 164 | Aperçu | |
Ve 13 mars NATIONAL CO GIE du 10/11/12 mars | 122 | Aperçu | |
Je 02 avril National AIR de CO | 117 | Aperçu |
D'autres articles suivront tout au long de cette année 2010.
........Vive le sport........
Di 21 février Semaine multi sports
Ce dimanche 21 février, premier jour des vacances scolaires de la zone Paris, il n'y a pas de course d'orientation au programme. J'en ai profité pour aller faire 1h20 de vélo à Longchamp. Il y avait un vent glacial qui m'a convaincu d'abréger la séance. Faut dire que la motivation n'était pas exceptionnelle....
L'après-midi a été consacré à une séance cinéma avec un super film que je conseille : Lovely Bones.
Cette semaine passée m'a vu pratiquer plusieurs sports....
Lundi 3h00 de vélo du côté des Mureaux avec Yoyo et Franck Odienne.
Mardi entraînement CO avec un exercice de carte blanche / azimut
Mercredi entraînement CO avec 3 exercices de simulation en salle
Jeudi, direction mon Alsace natale et ensuite le massif vosgien avec une séance de reprise d'1h15 de ski nordique classique
Vendredi, séance d'1h45 de skating avec Philippe Peck et son fils Johan.
Samedi repos et retour en région parisienne.
Dimanche 1h20 de vélo de route à Longchamp.
Pas de grosses séances en volume horaire mais une diversité dans les activités sportives qui font du bien au mental.
Prochain objectif, le championnat Longue Distance de CO de la ligue de Picardie dimanche 28 février du côté de Compiègne.
Di 25 octobre Cross de la Garde Républicaine
Le jeudi 22 octobre 2009 a eu lieu le cross de la garde républicaine dans la forêt de SAINT-GERMAIN-EN LAYE (78) sur le site du château du Val.
L'équipe cross de la Garde Républicaine étant engagée sur une autre course, c'est une partie de l'équipe de course d'orientation qui est chargée de prêter son concours au Régiment de Cavalerie, chargé de cette organisation.
Le responsable est l'adjudant COUPE du Centre d'Instruction du quartier Goupil, secondé par l'adjudant/chef GROSHENS, entraîneur de l'équipe de course d'orientation. Toute la manifestation sportive est supervisée par l'officier des sports de la Garde, le capitaine SEGURA.
Alors que le jour se lève, les 2 tentes de la zone vie sont, en deux temps trois mouvements, montées par les cavaliers.
Les organisateurs règlent les derniers détails pour le départ : pose de rubalise, barrières, mise en place des jalonneurs et vérification des chronomètres. Peu de temps après, les cars des différentes unités arrivent les uns après les autres.
Une fois les unités de chaque régiment rassemblées, la cérémonie des honneurs au drapeau est respectée en présence des colonels ROUX (commandant en second) et MEHAULT (chef d'Etat-Major), puis les consignes de course sont données par l'adjudant COUPE.
Maintenant place au sport, il reste 20 minutes pour s'échauffer.
Toutes les conditions sont réunies pour que cette journée en plein air soit une réussite.
En effet, le terrain bien arrosé la veille par la pluie nous rappelle que nous sommes en automne. Météo idéale pour le cross. Le parcours long de 8100 mètres est composé de 2 tours et est agrémenté de 2 faux plats.
A 9h30, 311 coureurs se placent derrière la ligne de départ. Franck et Jean-Phi sont au chrono. Fabien et Willy à l'arrivée.
En pleine discussion avec des prétendants au podium des vétérans 1, Philippe dit "Yoyo" est surpris par le coup de feu et prend un mauvais départ. Yoann, quand à lui, part comme une fusée, tout ça pour être sur la photo....LOL... suivi d'Erwan... Nos trois représentants de l'équipe CO veulent bien faire.
Cependant, au bout de 2 kilomètres, yoyo réussi à doubler environ 40 coureurs, et se stabilise aux alentours de la 10ème place.
Bien que courant à un bon rythme jusqu'à la fin du premier tour, pour creuser les écarts, il ne peut empêcher Erwan de le doubler entre le 3ème et 4ème kilomètre.
Yoyo passe la mi-course en 14'28 et décide de contrôler son allure pour assurer sa place.
Sentant une menace poindre avec le retour de plusieurs coureurs dans son dos, il
augmente son allure et s'en va terminer à la 8ème place, gagnant ainsi par la même occasion le titre en HV1.
Erwan, en grande forme, fait une excellente course et se bat jusqu'au bout pour une médaille. Au final, il échoue au pied du podium pour une seconde.
Yoann, après un départ ultra rapide, va gérer sa course pour prendre une très bonne 17ème place.
La remise des prix est présidée par le Général, commandant de la Garde Républicaine. Celui ci récompense les 3 premiers de chaque catégorie et remet le Challenge du Chef de Corps au capitaine BELTRAME, commandant la CSH1/I, vainqueur du classement par équipes.
Le vainqueur, toutes catégories, est le garde GEVERS Christophe de la CSH2/I.
Dans la catégorie HV1, c'est "Yoyo" de la CSH1/I qui gagne,
En HV2 c'est le capitaine GRANGE Patrick de la CSH2/II
Chez les dames, c'est le garde NOËL Marie de la CSH1/I.
Au classement de l'unité qui a le plus de coureurs classés à l'arrivée, c'est le capitaine BESSEZ de la CSH2/I qui reçoit la coupe des mains du Général.
Félicitations à eux et à tous ceux (et celles) qui ont participé à cette épreuve annuelle.
Les résultats des podiums sera publiés un peu plus tard sur le site.
Voir aussi l'article sur le site de la Garde : http://equipeco.wifeo.com
Di 06 septembre Fin des vacances.... sportives.
C'est la rentrée !!!!! Les enfants reprennent le chemin de l'école et nous le chemin du travail.
Ces deux mois d'été ont été mis à profit pour faire une petite coupure concernant les entraînements au début du mois de juillet. Pareil pour les compétitions puisque la reprise, le 12 août, fut un 10 km à Dax (40) pendant la féria. Suivront le championnat de France de CO près de Dijon (21), les cyclosportives « LA LOUIS PASTEURS » à Dôle (39) et « LES BALLONS VOSGIENS » à Gérardmer (88).
Par contre, beaucoup de vélo ...... 1514 km en région parisienne pour le mois de juillet et un tout petit footing de 7 km ......
Je continue sur ma lancée et, en vacances dans la région de Dax (40),
je profite des petites routes de La Chalosse pour parcourir au total 630 km de vélo.
J'en profite également pour aller faire une sortie du coté des Pyrénées. Mon épouse me dépose en voiture à Arreau, je grimpe le col d'Aspin à 1489 m d'altitude (12 km à 6,7 % de pente moyenne en 45').
Ensuite, descente sur Sainte-Marie de Campan pour attaquer le col du Tourmalet, 2115 m d'altitude (17 km à 6 % dont les 11 derniers km à 9 % de moyenne en 1h16').
Après le passage du col, descente jusqu'à Argelès-Gazost où ma sortie s'achève avec 75 km au compteur et 1850 m d'ascension. Le tout en 3h15.
Les vacances dans le sud-ouest s'achèvent et je remonte sur Dijon (21) pour pouvoir participer au championnat de France Longue Distance de course d'orientation. Le samedi 22 août, je retrouve les gars de l'équipe et Jean Phi me donne ma tenue de course car il n'était pas prévu, au départ de chez moi, que je cours cette compétition. Mais ma première place provisoire au classement de la Coupe de France m'a incité à courir cette épreuve. De plus, ma belle-famille habitant la région dijonnaise, c'était tout bénéf pour moi. J'avais surtout prévu d'aller courir la cyclosportive à Dôle (39), le lendemain, dimanche 23 août.
Ma 7ème place au classement final me satisfait, même si je perds 2-3 places à l'avant dernier poste à cause d'une mauvaise lecture de carte.... De toute façon, je ne pouvais pas espérer mieux vu le peu d'entraînement en course à pied. Je perds aussi ma première place à la Coupe de France et je rétrograde au 2ème rang....... Mais je limite la casse......
Par contre, dimanche, grande satisfaction avec la médaille de bronze obtenue par l'équipe de la Garde en catégorie vétéran 1, lors du relais du championnat de France (Franck,Yoyo et Jean-Phi).
FELICITATIONS LES GARS!!!!
Pour ma part, pendant ce temps, je pédalais dans les contreforts des monts d'Arbois dans le Jura. Belle cyclosportive de 177 km et 1900 m de dénivelé. Toujours dans le peloton de tête jusqu'à l'entrée d'Arbois (km 82), la traversée de la ville me fera perdre le contact avec la tête de course et je me retrouve dans le 3ème groupe lors de la montée du col suivant. On va se retrouver à une douzaine de coureurs jusqu'à l'arrivée en essayant de ne pas perdre trop de temps sur les premiers.
Au final, je termine 48ème au scratch et 15ème vétéran en 5h06' et 34,9 km/h de moyenne. Le vainqueur passe la ligne 14' avant moi..... Pour finir, merci à Denis Besson qui m'a dépanné d'un pneu juste avant le départ car, sans lui, je pense que je n'aurais pas fait beaucoup de kilomètres. Il termine dans le groupe devant moi en 5h02'. (34ème au sratch)
Pour la dernière semaine du mois, direction l'Alsace où mes parents nous accueillent, dans la vallée de la Bruche, ma région natale. Au programme de la semaine, deux sorties vélo avec quelques cols pour me mettre en jambes avant de participer à la cyclosportive du dimanche 30 août « Les Ballons Vosgiens ». Pour le reste, ballade en famille à Strasbourg (67) et en forêt dans le massif vosgien.
Dimanche, 6h00, en route pour Gérardmer (88), ville départ et arrivée de la course. A 8h15, le départ est donné par une petite température (8°C) mais sous un beau ciel bleu.....
Le parcours long de 156 km et 3650 m d'ascension, emprunte quelques cols de l'étape du Tour de France de cette année, mais souvent en sens inverse.
Au programme, le col de la Schlucht (10 km à 4 % de moyenne), le col du Breitfirst, le Petit Ballon (10 km à 7 %), le col du Beinstein (5 km à 7 %), le col du Firstplan (4 km à 4 %), le Markstein (9 km à 7 %), le col du Bramont (7 km à 5 %), le col des Feignes (4 km à 4 %) et pour finir le col de Grosse Pierre (4 km à 3 % avec un passage à 16 %).
Superbe parcours avec des vues magnifiques sur les Hautes-Vosges et les vallées. Mais parcours dur avec beaucoup de cols et descentes assez dangereuses. 64 km d'ascensions et autant de descentes pour seulement 28 km (19 %) de plat.
Malgré un départ en dernière position sur la ligne, ( je croyais le départ à 8h30 et non 8h15, et en plus il n'y avait pas de « box » de départ....) je suis content de ma course. J'ai grimpé tous les cols sans connaître de défaillance et je termine sans aucune crampe ou fringale.
Hervé Perrin était avec moi au départ mais, malheureusement, en partant dans les derniers, on s'est perdu de vue dès le pied du premier col en essayant de doubler des coureurs attardés. Il terminera en 6h38' à la 251ème place au scratch et 95ème vétéran.
Pour ma part, je termine en 5h46' (2' de moins que mon meilleur temps de 2007) à 47' du premier. Au final, je me classe 79ème au scratch, 22ème vétéran avec 27,1 km/h de moyenne.
De retour à Nanterre, le rythme quotidien a repris son cours.
En route pour une nouvelle saison sportive.